- Télécharger Ligne Alerte, l’application qui vous prévient de la proximité des lignes électriques aériennes.
La situation sanitaire au regard de l’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) continue à se dégrader ces dernières semaines. Le nombre de foyers d’influenza aviaire en élevage et dans la faune sauvage progresse encore en France métropolitaine et en Europe. Face à un risque de contamination accru du fait de la baisse des températures et de la forte activité migratoire des oiseaux sauvages, le niveau de risque a été relevé de “modéré” à “élevé” sur l’ensemble du territoire métropolitain. Un communiqué de presse a été édité en ce sens par le ministère (https://agriculture.gouv.fr/influenza-aviaire-la-france-passe-en-niveau-de-risque-eleve)
À compter du 11 novembre, la protection des élevages de volailles est renforcée et les mesures de prévention sont généralisées. Ainsi, toutes les volailles doivent être mises à l’abri sur l ‘ensemble du territoire et les rassemblements de volailles sont interdits.
Pour les basse-cours (établissements non commerciaux détenteurs de volailles), il est attendu :
– soit un confinement sous filet
– soit un maintien en bâtiment fermé des oiseaux.
Il est rappelé que les basse-cours doivent être déclarées en mairies et enregistrées dans un registre qui permettra en cas déclaration d’un cas d’IAHP de ne pas perdre de temps pour localiser les animaux à surveiller. A toutes fins utiles, vous trouverez ci-joint une affiche rappelant les mesures de biosécurité à appliquer par les détenteurs de basse-cour
Pourles élevages commerciaux :
– les gibiers à plumes peuvent être maintenus sous filet.
– les élevages de volailles doivent être autant que possible enfermés en bâtiments.
Des dérogations sont néanmoins possibles pour des raisons de bien-être animal dûment constatées par des vétérinaires.
Ces dérogations font l’objet d’une validation officielle de la DDPP.
Cliquer pour consulter les consignes
Opération “Toqué du local”
VRAgglo lance l’opération “Toqué du Local” pour valoriser les professionnels du territoire engagés autour du bon et du durable, et aider les habitants à trouver les bonnes adresses grâce à une carte interactive. Le portail en ligne recense déjà 270 producteurs, revendeurs de produits locaux, restaurateurs…
Toqué du local est une formidable opportunité pour faire rayonner les bons produits et savoir-faire du territoire.
Avant d’aller aux urgences, appelez le 15!
L’Agence régionale de santé Auvergne-Rhône-Alpes rappelle les bons réflexes en cas de besoin de soins.
Si vous avez un problème de santé qui ne peut pas attendre l’ouverture habituelle des cabinets médicaux, ne vous déplacez pas directement aux urgences : appelez en priorité le 15 (ou le 114 pour les personnes malentendantes).
Les régulateurs du Centre 15 pourront vous proposer une orientation adaptée à votre état de santé :
- conseils médicaux nécessaires par un médecin régulateur ;
- orientation vers un médecin de garde ou organisation d’une visite à domicile ;
- en cas d’urgence, un régulateur vous orientera vers un service d’urgence ou organisera l’intervention d’une équipe adaptée (ambulance, SMUR, etc.).
Le frelon asiatique – La santé des abeilles drômoises
Cette année, malgré une météo capricieuse et le retard de croissance des colonies, le frelon asiatique s’est encore étendu sur le territoire français, c’est pourquoi, il est rappelé qu’il est ESSENTIEL de déclarer toute suspicion sur la plateforme dédiée : https://www.frelonsasiatiques.fr.
Présent depuis 2012 en Auvergne-Rhône-Alpes, le moustique tigre s’est installé progressivement dans 10 des 12 départements de la région : Ain, Ardèche, Cantal, Drôme, Isère, Loire, Puy-de-Dôme, Rhône, Savoie et Haute-Savoie.
Organisation des constats d’attaques : dommages de grands prédateurs (Loup) causés aux troupeaux domestiques
La prédation du loup est intense dans le départemen depuis le début de l’année 2022. Elle touche des secteurs jusqu’alors assez épargnés, et par conséquent des troupeaux professionnels ou non, peu ou pas protégés. Dans ce contexte, certains éleveurs, bergers ou propriétaires d’animaux d’agrément, se trouvent parfois démunis lorsqu’ils sont confrontés à une attaque.
Madame la Préfète a souhaité que soit rappelée la procédure permettant l’établissement d’un constat de prédation, préalable indispensable pour identifier l’origine de l’attaque, et lancer la phase d’indemnisation le cas échéant.
C’est l’objet du document joint, qui décrit très simplement les différentes étapes pour le signalement auprès de la Direction Départementale des Territoires de toute suspicion d’attaque de loup. Cette “fiche réflexe” doit permettre de faciliter les démarches pour les éleveurs et propriétaires confrontés à un cas de prédation.
Consulter la fiche réflexe 2022 concernant les attaques de loup sur les troupeaux